lundi, 04 octobre 2010
Le bal
Votre charme me tuera de ses doigts d'orfèvre
Et je terminerai ma chute dans un océan de lumière,
Jonché de fleurs de la couleur de vos lèvres.
Armez mon cœur de pétales,
Que la rose soit à mes cotés !
Je vous conduis au bal
Pour ne plus vous quitter.
M’aimerez-vous enfin,
Moi qui vous tends les mains !
Je désire tant votre présence,
Comme je redoute votre absence.
Je ne cesserai jamais d’espérer
Votre amour, demoiselle,
Malgré les expériences cruelles
De nos duels inachevés.
Maudits soient les cavaliers
Qui n’ont jamais compris !
Moi, je veux vous aimer
Et qu’importe ce qu’on dit,
Jusqu’à l'éternité.
SMM
22:00 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (0)
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